Les faits
Un projet de construction impliquait un agrandissement de la faculté des sciences d’une grande université canadienne. Un sous-traitant a coulé le béton pour l’extension du trottoir autour du nouveau bâtiment. Cependant, ils n’ont pas installé de clôture pour garder les piétons à l’extérieur de la zone de construction, et il y avait une différence d’élévation entre le coffrage et le trottoir.
Quelques jours plus tard, avant que la différence d’élévation n’ait été corrigée, une professeure a trébuché sur le coffrage et est tombée au sol, subissant de graves blessures aux tissus mous de la cheville et du poignet.
Le résultat
Heureusement, l’entrepreneur général avait souscrit une police d’assurance wrap-up pour projets spécifiques auprès de Victor. La police assurait le propriétaire du projet, l’entrepreneur général et tous les sous-traitants. Tous ces assurés ont été cités dans la poursuite et ont été protégés grâce à la couverture d’assurance wrap-up. La réclamation a été réglée quelques années plus tard.
La professeure qui avait subi des blessures était une employée contractuelle de l’université et était dans l’incapacité de travailler pendant une longue période. Elle réclamait 250 000 $, ainsi que pour un traitement de physiothérapie intensif.
Le facteur de risque
La mise en œuvre et le maintien de mesures de sécurité robustes sur les chantiers de construction sont essentiels pour éviter des blessures aux tiers. Les procédures judiciaires relatives aux dommages corporels peuvent être longues et prendre plus de temps à résoudre.